Pierre Gamarra
Nom de naissance | Pierre Albert Gamarra |
---|---|
Naissance |
Toulouse |
Décès |
(à 89 ans) Argenteuil |
Activité principale | |
Distinctions |
Prix Hélène Vacaresco 1943 Prix du Conseil national de la Résistance 1944 Prix Charles Veillon 1948 Prix Jeunesse 1961 Grand Prix SGDL du Roman 1985 |
Langue d’écriture | français |
---|---|
Genres |
Œuvres principales
- La Maison de feu (1948)
- Le Maître d'école (1955)
- Les Équipiers de la Berlurette (cycle, 1957-1961)
- La Mandarine et le Mandarin (1970)
- Mon cartable
Compléments
- Directeur de la revue Europe
Pierre Gamarra est un écrivain français né à Toulouse le et mort à Argenteuil le . Il est romancier et poète. En tant que critique, son nom se trouve largement associé à la revue Europe, de 1949 à 2009. Ses œuvres, qui abordent pratiquement tous les genres, comprennent également des essais et des pièces de théâtre.
Pierre Gamarra est particulièrement connu à travers son œuvre pour la jeunesse, fréquemment enseignée dans les écoles, ainsi que pour les liens que sa poésie et ses romans entretiennent avec Toulouse, le Languedoc et la France du Sud-Ouest.
Biographie
[modifier | modifier le code]Né à Toulouse en 1919, Pierre Gamarra a des origines basques et languedociennes[1]. Il est d'abord instituteur, puis journaliste[2].
Pendant la libération de Toulouse, en août 1944, Pierre Gamarra fait paraître Vaincre, journal des FTPF-FFI[3], dans les locaux de la Dépêche du Midi, rue Bayard[a].
Au lendemain de la Libération, dans cette même ville, il participe, avec un groupe d'anciens résistants, à la création de la Librairie de la Renaissance[4]. Il poursuit son engagement résistant en militant au Parti communiste, auquel il adhère en 1944. De 1944 à 1949, il est journaliste au quotidien Le Patriote du Sud-Ouest[5], dont il est le premier rédacteur en chef[b].
Il est, à Lausanne en 1948, le lauréat du premier Prix international Charles Veillon, pour son premier roman La Maison de feu[c],[d]. Le jury, présidé par André Chamson, rassemble notamment les écrivains Vercors, Franz Hellens et Louis Guilloux[6],[e]. Le roman est publié la même année, en Suisse par les Éditions de la Baconnière et en France par les Éditions de Minuit. Il évoque le Toulouse des années trente[f].
En 1949, Pierre Gamarra est sollicité par Jean Cassou, André Chamson et Aragon pour prendre, à Paris, la responsabilité de la rédaction de la revue littéraire Europe[g],[7], sous la direction de Pierre Abraham, auquel il succédera à la tête de la revue[7]. De 1949 à sa mort, en 2009, il tient dans Europe une chronique littéraire, « La Machine à écrire »[h] : il y rend compte de parutions françaises et étrangères[8], et notamment de la littérature des « petits pays », que la revue s’efforce de faire découvrir. Il sera également en tant que critique littéraire un collaborateur régulier de l'hebdomadaire de la CGT, La Vie ouvrière[9].
Il a été vice-président du PEN club français sous la présidence de Jean Blot (1999-2005) et membre honoraire de l'Académie de Montauban[10].
Pierre Gamarra a été pendant douze ans conseiller municipal d'Argenteuil, plus particulièrement chargé des affaires culturelles. Il a vécu dans cette ville à partir de 1951[7], après avoir habité deux ans dans le 9e arrondissement de Paris, au 42, rue d'Amsterdam.
Son urne funéraire a été déposée le au cimetière de Bessens, village du Tarn-et-Garonne où il a longtemps vécu[11].
Aperçu de l'œuvre
[modifier | modifier le code]Pierre Gamarra est souvent présenté comme « un écrivain occitan de langue française »[12],[13]. Son œuvre, traduite en plus de vingt langues, compte près de quatre-vingts ouvrages.
Pierre Gamarra est considéré comme l'un des plus intéressants auteurs français pour la jeunesse[14], que ce soit en prose[15] ou en poésie[16].
Ses fables — La Mouche et la Crème, par exemple[17] — et ses poèmes, dont le célèbre Mon cartable, sont particulièrement connus des écoliers[18]. En effet, les enseignants et les manuels de littérature et de français puisent souvent dans son œuvre poétique[19] ; ils y trouvent par exemple des fables, que l'Encyclopedia Britannica place dans la lignée de La Fontaine[20], ou bien des assonances mnémotechniques aux airs de comptine[21]. Cette partie de son travail correspond notamment au désir de communiquer aux jeunes lecteurs le goût de la lecture et des mots[22],[23].
Son travail pour la jeunesse se compose également de contes et de romans. Pierre Gamarra est ainsi l'un des auteurs « fétiches » des Éditions la farandole, dont il ouvre presque le catalogue avec La Rose des Karpathes (1955). Ses romans pour la jeunesse parus dans la collection « Mille épisodes », tels le cycle des « Équipiers de la Berlurette » (1957-1961)[24] ou Le Capitaine Printemps (1963), gagnent rapidement un public fidèle qui apprécie ses histoires ancrées dans un réel mâtiné d'aventures[25].
Son roman L'Aventure du Serpent à Plumes reçoit le Prix Jeunesse en 1961.
Plus généralement, dans l'ensemble de son œuvre romanesque, Pierre Gamarra est reconnu pour son art de restituer les couleurs et les atmosphères[26],[27]. En outre, plusieurs de ses romans reposent en partie sur la volonté de créer le suspense : par exemple, ses romans policiers[28], Six colonnes à la une (1966), situé à Toulouse, et L’assassin a le Prix Goncourt (1950)[29], dont l'action se déroule autour de Moissac ; ou encore Le Capitaine Printemps (1963), qui est, selon Marc Soriano, un des « rares mais très beaux livres (de la littérature pour la jeunesse) sur la guerre et la Résistance»[30].
En 1955 paraît Le Maître d’école, qui sera l’un de ses romans les plus connus[31],[i] ; c'est l’histoire de Simon Sermet, instituteur laïque dans le Midi languedocien[j].
Pierre Gamarra est aussi l'auteur d'une trilogie romanesque sur Toulouse : Les Mystères de Toulouse (1967), L’Or et le Sang (1970) et 72 soleils (1975).
En 1973, son roman Les Coqs de minuit (1950), situé dans le Quercy aveyronnais durant la Révolution, est adapté pour la télévision par Édouard Logereau. Le film, en trois épisodes diffusés par FR3, a été tourné aux environs de Najac, avec Claude Brosset dans le rôle principal.
Pierre Gamarra a obtenu en 1985 le Grand Prix de la Société des gens de lettres pour le roman Le Fleuve palimpseste[32].
Son œuvre poétique est également saluée comme étant « un véritable chant d'amour »[2] et a pu être décrite comme suit : « Pleine d'images, de cris, de chants, de rires et de pleurs, son clavier est riche et profondément humain. Poésie foisonnante et colorée (…), qui trouve, pour exprimer la joie de vivre, des vers où l'on perçoit parfois, sourde et cruelle, l'épine de la douleur. »[33]
En 2000, le comédien Michael Lonsdale crée un spectacle autour de poèmes de Pierre Gamarra sur l'Espagne[34].
Prix et distinctions
[modifier | modifier le code]- 1943 : Prix de poésie Hélène Vacaresco pour Essais pour une malédiction[35] ;
- 1944 : Prix du Conseil national de la Résistance ;
- 1948 : Prix Charles Veillon pour La Maison de feu ;
- 1961 : Prix Jeunesse pour L'Aventure du Serpent à plumes ;
- 1972 : (international) « Honor List »[36], de l' IBBY, pour La Mandarine et le Mandarin ;
- 1985 : Grand Prix SGDL du Roman.
Hommages et postérité
[modifier | modifier le code]Le nom de Pierre Gamarra a été donné à une école à Montauban[37], à un groupe scolaire à Bessens[38] ; à deux rues, l’une à Argenteuil[39] et l’autre à Montauban[40] ; à une impasse à Boulazac[41] ; à deux bibliothèques, l'une, depuis 1995, à Argenteuil, et l'autre à Andrest[42].
Il existe une Association des amis de Pierre Gamarra, qui a publié une anthologie à la veille du centenaire de la naissance de l’écrivain[43] et qui anime le site officiel qui lui est consacré[44].
Œuvres
[modifier | modifier le code]Poésie pour la jeunesse
[modifier | modifier le code]- La Lune dans ton sac, Amis de Pierre Gamarra (APG), 2018 (s.l.) — Le recueil contient notamment, dans une section « jeunesse », Mon cartable, Le Triangle équilatéral, Est-ce faux, est-ce vrai ? (voir également plus bas en Poésie).
- Mon cartable et autres poèmes à réciter, ID-livre, coll. « Pierre Gamarra raconte… », 2006, ill. Bernard Lafont — Le recueil reprend notamment Mon cartable, La Pendule, La Chanson de la faute d'orthographe[k], Cherchez le Z et Mon école.
- Des mots pour une maman, Éditions ouvrières, coll. « Enfance heureuse », 1984 — Le recueil contient notamment L'Avenir, La Voix de ma mère, Je te souhaite, Un poème pour toi[l] et Le Monde dans mes mains[l].
- Rondes de la jungle et d'ailleurs, Éditions La Farandole (LF), 1980, ill. Tamas Szecsko
- Voici des maisons, 1979, LF, ill. Erika Uraï
- La Tarte aux pommes, L’École des Loisirs, 1977 — Le recueil contient notamment Des yeux pour voir et Écoute.
- ABC, LF, 1976, ill. Karoly Reich
- La Fête des costumes, LF, 1975, ill. Erika Uraï
- Corbeau vole ! Hachette, coll. « Le Vert Paradis », 1974, ill. Yutaka Sugita (ja)
- Des mots pour les animaux, LF no 307, coédité avec les Éditions Corvina, Budapest, 1974, ill. Karoly Reich (hu)
- Chansons de ma façon, LF no 124, 1963, ill. René Moreu — Le recueil contient notamment La Pendule.
Recueils de fables
[modifier | modifier le code]- Salut, Monsieur de la Fontaine : Fables nouvelles, Éditions Art, 2005, 94 p. ill. Frédéric Devienne — Le recueil contient notamment Le Moqueur moqué, ainsi qu’une postface sur l’art de la fable.
- La Mandarine et le Mandarin, LF no 227, 1970, ill. René Moreu — Le recueil contient notamment Le Cosmonaute et son hôte, Le Lapin et le Latin, La Mouche et la Crème, Le Ski et La Pomme.
Contes
[modifier | modifier le code]- Les Vacances de Tonton 36, ID-livre, coll. « Pierre Gamarra raconte… », 2006, ill. Marco Conti Šikić et Francesca Protopapa
- Chantepierre et Gras-gras-gras, LF, 1973, ill. par des enfants des Hautes-Pyrénées et par René Moreu[45]
- La Tisane arc-en-ciel, LF, 1977, ill. Gerhard Lahr (de)
- Les Mots enchantés, Éditeurs français réunis (EFR), 1952, ill. Zuka
- La Petite Fille et la Colombe, éd. Comité mondial du Congrès des partisans de la paix (Paris), 1950
Romans et récits pour la jeunesse
[modifier | modifier le code]- Le Chat Moustache et ses amis de toutes les couleurs, ID-livre[m], coll. « Pierre Gamarra raconte… », 2005, ill. Marco Conti Šikić et Francesca Protopapa — Nouvelle édition, modifiée, de Moustache et ses amis, LF no 292, 1974, ill. Annick Desmier
- Les Aventuriers de l'alphabet, Éditions Mango, 2002
- Douze tonnes de diamant, LF coll. « Mille épisodes », 1978
- On a mangé l'alphabet, Bordas coll. « Aux quatre coins du temps », 1978, ill. Georges Lemoine
- 50 000 dollars de chewing-gum, LF, 1977, ill. Catherine Cambier
- La Fête chez Peluchette, Hachette, 1976, ill. Makoto Obo
- Peluchon et ses amis, Hachette, 1976, ill. Makoto Obo
- L'Énigme du Capitole, LF coll. « Mille épisodes », 1968
- Six colonnes à la une, Laffont coll. « Plein Vent », 1966 — Repris en Folio Junior, 1980 puis chez Pocket, 1997
- Le Pharaon de Blagaron, LF no 149 coll. « Mille épisodes », 1964
- Le Capitaine Printemps, LF no 132 coll. « Mille épisodes », 1963
- L'Aventure du Serpent à Plumes, Bourrelier, coll. Marjolaine, 1961, ill. Philippe Daure, Prix Jeunesse 1961 — Réédité aux éditions La Farandole, LF no 256 coll. « Mille épisodes », 1973
- Berlurette contre Tour Eiffel, LF no 100 coll. « Mille épisodes », 1961, (cycle Les Équipiers de la Berlurette, III), ill. Daniel Billon
- Le Trésor de Tricoire, LF no 82 coll. « Mille épisodes », 1959, (cycle Les Équipiers de la Berlurette, II), ill. René Garcia— Réédité précédé de Le Mystère de la Berlurette, Éditions de la Farandole, 1969, ill. René Moreu
- Le Mystère de la Berlurette, LF no 50 coll. « Mille épisodes », 1957, (cycle Les Équipiers de la Berlurette, I), ill. René Garcia — Rééditions La Farandole : 1969, suivi du Trésor de Tricoire, ill. René Moreu ; 1979, ill. Jean Garonnaire
- La Rose des Karpathes, LF no 2, 1955, ill. Mireille Miailhe
Romans
[modifier | modifier le code]- L’Empreinte de l'ours, De Borée (Sayat), 2010[46] (ISBN 9782844949899)
- Les Coqs de minuit suivi de Rosalie Brousse, De Borée, réédition 2009 (ISBN 9782844949097) — Repris en coll. «Terre de poche» (8 juillet 2016) ; fiche en ligne (ISBN 978-2-8129-1833-9)
- Le Maître d'école suivi de La Femme de Simon, De Borée, réédition 2008[47]
- La Victoire de l'ourse, Loubatières (Portet-sur-Garonne), 2005
- Les Révoltés de ventôse, Éditions des Veillées, 1998
- Les Nuits de la Bastille, Messidor, 1988
- Les Lèvres de l'été, Messidor, 1986
- Le Fleuve palimpseste, PUF (ISBN 978-2130385868), 1984, Grand Prix 1985 de la Société des gens de lettres pour le roman
- Cantilène occitane, Éditeurs français réunis (EFR), 1979 repris en Folio (Gallimard) (1992) (ISBN 2-07-038502-7)
- 72 soleils, EFR, 1975
- L'Or et le Sang, EFR, 1970
- Les Mystères de Toulouse, EFR, 1967 — Repris dans la Bibliothèque Marabout (Verviers) (1978)
- Solo, EFR, 1964
- Rhapsodie des Pyrénées, EFR, 1963[46]
- La Femme de Simon, EFR, 1962[47]
- Les Jardins d'Allah, EFR, 1961 — Réédition Le Temps des Cerises, 2020[48]
- Le Maître d'école, EFR, 1955[47] — Repris en Folio (Gallimard) (1994)
- Rosalie Brousse, EFR, 1953
- La Femme et le Fleuve, Éditions de la Baconnière (Neuchâtel), 1951
- Les Lilas de Saint-Lazare, EFR, 1951
- L'assassin a le prix Goncourt, Éditions S.E.P.E coll. « Le Labyrinthe», 1950[49] — Repris par EFR coll. « Énigme autour du monde » (1968) puis chez Messidor/LF (1986)
- Les Enfants du pain noir, EFR, 1950, repris aux Éditions De Borée, coll. « Terre de poche » (2013) (ISBN 2812908491)
- Les Coqs de minuit, Éditions de la Baconnière, 1950 — Adapté pour l'écran en 1973.
- La Maison de feu, Éditions de la Baconnière/Éditions de Minuit, 1948, frontispice de Géa Augsbourg, Prix international Charles Veillon 1948 — Rééditions EFR, 1969, 1970, 1973 ; Messidor, 1987 ; De Borée coll. «Terre de poche» (2014) (ISBN 9782812911491), préface de Michel Besnier ; (détail des éditions du livre sur Worldcat)
Recueils de nouvelles
[modifier | modifier le code]- Le Village, Éditions Henry (Montreuil) coll. « La Vie, comme elle va », 2012 (ISBN 978-2-36469-027-1) — [Présentation en ligne sur le site de l'éditeur]
- La vie est belle, Messidor, 1991
- Les Amours du potier, EFR, 1957
- Les Mains des hommes, Éditions Connaître (Genève), 1953 ill. Marc Saint-Saëns
Hors recueil
[modifier | modifier le code]- Un cadavre de boue et Mange ta soupe, in Le Patriote du Sud-Ouest, 1944, Prix du Conseil national de la Résistance
Poésie
[modifier | modifier le code]- La Lune dans ton sac, Amis de Pierre Gamarra (APG), 2018 (s.l.), avant-propos de S. Devienne-Gamarra, ouvrage illustré de documents d’archives (photos, manuscrits), de dessins de l’auteur et de planches de F. Devienne, 126 p. (ISBN 979-10-699-2186-3) — Présentation en ligne
- Mon pays, l'Occitanie, Les Cahiers de la Lomagne (Lavit), 2009, ill. Éléonore Cassaigneau
- Pouchkine, Encres vives (Colomiers), coll. « Encres Blanches », 2004, ill. Frédéric Devienne
- Le Monde irréel, Encres vives, coll. « Encres Blanches », 2004, ill. Frédéric Devienne
- Rugby, Éditions La Malle d’Aurore (Tarbes), 2000, postface de Thomas Castaignède
- Romances de Garonne, Messidor, 1990
- Oc, Éditions Rougerie (Mortemart), 1984
- Le Sorbier des oiseaux, EFR, coll. « Petite sirène », 1976
- Un chant d'amour, Armand Henneuse (Lyon), 1959
- Chanson de la citadelle d'Arras, Au Colporteur, 1951[n]
- Essais pour une malédiction, chez l'auteur (Toulouse), 1944, Prix Hélène Vacaresco 1943
Biographies
[modifier | modifier le code]- Notre ami Jules Verne, Le Temps des Cerises, 2005
- Notre amie George Sand, Le Temps des Cerises, 2004
- L'Ami Victor Hugo, Le Temps des Cerises, 2001 — Nouvelle édition, modifiée, de La Vie prodigieuse de Victor Hugo, Messidor, 1985
Biographies romancées
[modifier | modifier le code]- Vie et prodiges du grand amiral Zheng He, Éditions Mazarine, 2000
- Vasco Núñez de Balboa, découvreur de l'Océan du sud, Le Temps des Cerises, 1994
- La Vie fabuleuse de Cristóbal Colón, Messidor, 1992
Essais
[modifier | modifier le code]- Histoire de la laïcité, ID-livre Jeunesse, coll. « Pierre Gamarra raconte… », 2005
- L’éducation civique, c'est quoi aujourd'hui ? (avec Bernard Épin), Éditions La Farandole, 1985 ill. Daniel Maja, postface d'Albert Jacquard
- Mes lectures pour tous, Temps Actuels, 1980
- La lecture, pour quoi faire ? Casterman, 1974
- Ombre et lumière d’Espagne : Chronique d'un reportage (pl), EFR, 1961
Articles
[modifier | modifier le code]- Collaborations à Europe : accès en ligne, sur Google Scholar
Préfaces d’ouvrages
[modifier | modifier le code]- Anne Talvaz, Ce que nous sommes, L'Act Mem, 2010[o]
- La Mère et l'Enfant, les plus beaux poèmes, choix et préface de Pierre Gamarra, Temps Actuels, 1985
- Poèmes choisis de Paul Éluard, choisis et présentés par Pierre Gamarra et Rouben Mélik, Temps Actuels, 1982
- Œuvres complètes de Louis Pergaud, Club Diderot du Livre, 1970 — Préface reprise pour La Guerre des boutons, Éditions Messidor, 1991
- Jacqueline et Raoul Dubois, Littérature, presse, enfance et jeunesse : Bibliographie, Comité français du cinéma pour la jeunesse, 1968
- « L'Ouvrier et la Mer » : Victor Hugo, Les Travailleurs de la mer, Club des Amis du Livre Progressiste, 1966 (p. I-XIX)
- Jean-Richard Bloch : …et Compagnie, introduction par Romain Rolland, Club des Amis du livre progressiste, 1963
- Louis Pergaud, De Goupil à Margot, Club du Livre Progressiste, 1960, notice bibliographique par Eugène Chatot
- Pages bulgares : Christo Botev, Ivan Vazov, Eline Péline et al., Éditions Seghers, 1956
- Guy de Maupassant, Contes et Nouvelles, Éditions Connaître, Genève, 1952
Arts de la scène
[modifier | modifier le code]Théâtre pour la jeunesse
[modifier | modifier le code]- Opéra de la soupe, 1998, théâtre de Pont-Audemer, musique Rudolf Schmidt
- La Rose des Karpathes, version pour la scène du conte du même titre
- Le Pont sur la Clarinette (comédie en quatre tableaux), 1990 : Odyssud (Blagnac) par la troupe Fabula Théâtre, mise en scène Michel Coulet
- La Rose tsigane, 1983 : École-théâtre d'Andrest et Foyer de Juillan
- Le Pont sur la Clarinette, avril 1972, mise en scène de César Gattegno
- En passant par la Louisiane ou Josué Trompette, 1972 : théâtre Gérard Philipe (Saint-Denis) (TGP) par la Compagnie Bazilier
- Vingt-mille lieues sous les mers, adaptation pour la scène, d'après Jules Verne, 1971
- Billy the Kid (comédie-western), 1969 : TGP, mise en scène Daniel Bazilier
- La Classe enchantée, 1969 : salle Gaveau (Paris), musique Rudolf Schmidt
- Le Roi Mirliton (comédie féerique en trois actes), 1967 : théâtre Mossoviet (Moscou) sous le titre Karol Fanfaron, mise en scène Nina Mikhoels (en)—(BNF 39462752)
Théâtre et dramatiques radio
[modifier | modifier le code]- Bonheur and Co (comédie-bouffe en un acte), 1956, création à Tôkyô
- La Fortune des Mora (trois actes), 1956, diffusion à la Radiodiffusion-télévision française
- La Dame de la place Masséna, pièce radiophonique
Poésie mise en scène
[modifier | modifier le code]- Passion de l'Espagne[34], interprétation par Michael Lonsdale, musique de Stephan Leach interprétée par le trio Polycordes, 2000
Traductions et adaptations
[modifier | modifier le code]Traductions
[modifier | modifier le code]- Nicolas Guillén : Avec ce cœur, je vis[q], traduit de l'espagnol (avec une préface), EFR coll. « La Petite Sirène », 1976
Adaptations en français
[modifier | modifier le code]- Gunilla Bergström: Les Fariboles de Bolla, traduit du suédois par Marianne Hoang, ill. Gunilla Bergström, LF, 1981
- Agnia Barto : Les Jouets, adapté du russe, LF, 1979 (Livre dépliant avec des images de L. Maiorova)
- Yevi : Au diable la guerre, traduit de l'hébreu par Ilan Halévi, préface de Amos Kenan (he), EFR, coll. « La Petite Sirène », 1971
- Samouil Marchak : Le Souriceau pas sot (LF, 1972) et Le Chat qui se cacha (LF, 1964), adaptés du russe
- Czesław Janczarski (pl) : La Maisonnette d’Annette, adapté du polonais, LF, 1969
- Maria Terlikowska (pl): Voici Agathe, adapté du polonais, LF, coll. « Mille Couleurs», 1966
- Korneï Tchoukovski : Le Soleil volé, adapté du russe, LF, 1964
- Czesław Janczarski (pl) : La Journée des quatre lutins, adapté du polonais (titre original : Cztery małe krasnoludki), LF, coll. « Mille Couleurs», 1964, ill. Halina Gutsche (pl)
Au sein d’ouvrages collectifs
[modifier | modifier le code]- La Poésie arménienne : Anthologie des origines à nos jours, EFR, 1973, sous la direction de Rouben Mélik
- Le Trésor de l'Homme : Contes et images du Viêt Nam, LF, 1971 ; adaptations de B. Tanaka, Pierre Gamarra et M. Gansel
- Anthologie de la poésie vietnamienne : Poèmes du patrimoine classique (depuis le XIIIe siècle), puis poèmes du Nord-Viêt Nam et du Sud-Viêt Nam, EFR, 1969 ; avant-propos de Che Lan Vien (vi); traduction/adaptation par Pierre Gamarra, Jacques Gaucheron, Madeleine Riffaud, Armand Monjo, Georges Boudarel, Juliette Darle, Maurice Bruzeau et Henri Bassis
- Le Destin de la Géorgie, poèmes de Nikoloz Baratachvili (édition bilingue), EFR, 1968, traduction du géorgien par Gaston Boitchidzé et Serge Tsouladzé ; adaptations par Max-Pol Fouchet, Pierre Gamarra, Jacques Gaucheron et Guillevic
- Cinq poètes polonais : Władysław Broniewski, Konstanty Ildefons Gałczinski [Gałczyński], Jarosław Iwaszkiewicz, Leopold Staff, Julian Tuwim, Seghers, coll.« Autour du Monde » no 33, 1956, 88 p. —Traductions de Charles Dobzynski, Pierre Gamarra, François Kerel, René Lacôte et Pierre Seghers — Préface de Charles Vildrac
Participations à des ouvrages collectifs
[modifier | modifier le code]- « Le Tigre de Mont-de-Marsan», en préface à L'Histoire du Tigre, ouvrage créé par des enfants de Mont-de-Marsan d'après le personnage du récit de Pierre Gamarra, le Chat Moustache, illustrations par les enfants et par Francesca Protopapa, 2008
- Le Victor Hugo illustré, catalogue de l'exposition édité par le Musée de l'Histoire vivante, 2002 ; textes de Pierre Gamarra, Christian Gattinoni, Bertrand Tillier et Didier Daeninckx
- 13, rue Carença, 31000 Toulouse, roman collectif, Éditions du Ricochet, 2000
- « Je t'aime » in Plumes de paix : Vingt-sept créateurs de livres de jeunesse déclarent la guerre à la guerre, Messidor/La Farandole, 1991
- « Une rose dans la neige » in Onze nouvelles inédites, Hachette, coll. « Lectures », 1989, présentation par Michel Barbier
- « Ce maître nous enseignait la République…» in Histoires d'école, préface de Claude Santelli, textes et témoignages de Claude Coulbaut, Fernand Dupuy, Bernard Epin, Jacqueline Held, Paulette Pellenc, Christian Poslaniec et Ernestine Ronai, Messidor/LaFarandole, 1982, ill. Pef
- « Leçon », ill. Jean Picart Le Doux, in Présence et action de Max-Pol Fouchet, Château de Saint-Ouen, 1974
- « Soir », ill. Colette Maiffret, in Poésie murale, Rueil-Malmaison, 1973
- Edeltraut, la petite fiancée du vent, roman collectif sous la direction de James Krüss, sur une histoire de Z.K. Slabý (cs). Publié uniquement en tchèque et en allemand[r], 1971
- Le Chat orange, roman collectif sous la direction de Z.K. Slabý. Publié en tchèque[s], 1968
- « L'Homme » in Chants pour le Vietnam : 80 poètes de 28 pays, EFR, 1967, p. 56-57 — Dédié au poète Nguyen Din Thi (vi)
- « Ballade des droits civiques » in Guirlande d’Aragon privé de ses droits civiques, Tristan Tzara, Paul Éluard et al.[t], Éditions Réclame, Nanterre, , ill. André Fougeron
Poèmes dans des anthologies
[modifier | modifier le code]- Bonne fête ma mère et une traduction de l’espagnol, Haute fille de canne et de coquelicot de Nicolás Guillén, in 101 poèmes sur les femmes, Le Temps des cerises, 2005
- HLM le soir in Les Poètes et la ville, Le Cherche midi, 2000
- Ce soir, la fête des Lanternes in 101 poèmes contre le racisme, Le Temps des cerises, 1998
- Berceuse pour Petit Paul in La Cour Couleurs, Rue du monde, 1997
- Neiges, Un paysan et Un poème, qu'est-ce que c'est ?, in La Poésie contemporaine en France, numéro spécial de la revue LittéRéalité, Toronto, vol.VI, no 2, automne/hiver 1994
- Barcarolle dans la ville in Poèmes tout frais pour les enfants de la dernière pluie, anthologie par Christian Poslianec, La Farandole, 1993
- Les Ours polaires in La Vie des animaux, Éditions Time-Life, Amsterdam, 1991
- Le vent vient et La Pluie dans Les Éléments des poètes, anthologie par Jacques Charpentreau, Hachette Jeunesse, 1990.
- Romance du pain in 89 poètes pour 89, textes réunis par Henri Lewartowski, Paris-Révolution[u], 1989, p. 123-124
- Imaginons, N'importe quoi, Chanson de la faute d'orthographe et Cherchez le Z in Mon premier livre de poèmes pour rire, anthologie de Jacques Charpentreau, Éditions Ouvrières, 1986
- Un enfant sur les ailes de la nuit et trois traductions : Agen devient mon alphabet de Jacques Jasmin, traduit de l'occitan, Berceuse de Juan Arolas (es), traduit de l’espagnol, et Foi de Giovanni Pascoli, traduit de l'italien, in La Mère et l'enfant, les plus beaux poèmes réunis et présentés par Pierre Gamarra, Temps Actuels, 1985
- Chanson de Garonne et Je suis l’aube in Le Jardin secret des Poètes, Éditions Ouvrières, 1984
- Couleurs des saisons (hiver), Une semaine, Où est passée la poésie ?, Couleurs des saisons (printemps), Couleurs des saisons (été), Les enfants sont partis, Un jour tu te retourneras, Couleurs des saisons (automne), Les maisons sont pleines et Un enfant dans une grande surface in L'Almanach de la poésie, poèmes rassemblés par Jacques Charpentreau, Éditions ouvrières, 1983
- Les Feux in Pour le dire, Guides de France, 1981
- Ma rue, Au bord des toits tintinnabulent, La Toux du chat de Chatou et Souviens-toi de toi in La Poésie comme elle s'écrit, anthologie de Jacques Charpentreau, Éditions Ouvrières, 1981
- Pour une femme vive et Chanson de celle qui attend in Trente-cinq siècles de poésie amoureuse, anthologie de Pierre Haïat, Le Cherche midi, 1979
- Un matin d'enfance, Les Feux , Souvenir in La Ville en poésie, présenté par Jacques Charpentreau, Gallimard, coll. Folio Junior-Poésie, 1979
- Treize poèmes dans Tire-Lyre, I, L'École des loisirs, 1977
- Six poèmes dans La Nouvelle Guirlande de Julie, anthologie de Jacques Charpentreau, Éditions ouvrières,1976
- Trois fables dans Découvrir la poésie française, anthologie de Michel Cosem, « Anthologie Jeunesse », Seghers, 1975
- Comme une goutte de sang in Poèmes d’aujourd’hui pour les enfants de maintenant, anthologie de Jacques Charpentreau, Éditions ouvrières, 1972
- Rime troisième pour le 14 avril in Journal d'une poésie nationale (Poèmes réunis par Louis Aragon), Les Écrivains réunis/Henneuse, Lyon, 1954
- Nuit et Mots in Quarante poètes : 1942, Premier Cahier de la Renaissance française, Confluences, Lyon, 1942
Poèmes dans des revues
[modifier | modifier le code]- Nuit et Cris du silence in Le Moulin de Poésie no 31, 2005, ill. F. Devienne
- Souvenir d’enfance et Le Plus Jeune des Cerisiers in Le Moulin de Poésie no 29, 2004, ill. F. Devienne
- La Hache, Romance de la roue, La Cruche, La Table et La Plume in Corps Écrit no 35, 1991
- Complainte de Béthanie sur le progrès humain in Europe, supplément du no 743, mars 1991 : « Contre-feu, des écrivains, des peintres et la guerre du Golfe »
- Dizains de la multiplication des langues in Corps Écrit (PUF) no 36, janvier 1991
- Commencement de la vie éternelle in Corps Écrit no 32, janvier 1990
- Ébauche d’un homme in Corps Écrit no 30, juin 1989
- Romulus in Corps Écrit no 29 : La Ville, mars 1989
- Cycle La Garonne in Vagabondages no 64, juil.-sept. 1986, Anthologie de la poésie contemporaine d’Aquitaine
- Fables : L’Écrivain mort et L’Homme qui ne voulait pas de discours in Corps Écrit no 23, 1987
- L’Argent et Un rêve d’Harpagon in Corps Écrit no 22, 1987
- Valse et Crépuscule in Corps Écrit no 15, 1985
- Nage et Chanson de l’eau in Corps Écrit no 16, 1985
- Sieste in Corps Écrit no 7, 1985
- Douze poèmes in Vagabondages no 34, novembre 1981
- Bestiaire, Arantelle et Mon chien in Vagabondages no 23, septembre 1980
- Chanson noire, Réfugié, Descente de croix et Grimau in Poésie vivante (Genève), no 28, 1968
- Garonne bleue in Triangle, no 6, automne-hiver 1962 (Harnoncourt, Belgique)
- Douze poèmes in L'École et la Nation, février 1961
Filmographie, discographie
[modifier | modifier le code]Adaptations pour l'écran
[modifier | modifier le code]- Les Coqs de minuit[50], film en trois épisodes, réalisé par Edouard Logereau, 1973, avec Claude Brosset, Jacques Dhery, Alain Mottet, Micheline Bourday, Fred Personne, Muse Dalbray, Nicole Desailly, Sébastien Floche, Louis Arbessier
Participations
[modifier | modifier le code]- La terre fleurira, film de Henri Aisner, 1954 (1 h 03)[51]
- Henri Barbusse (Série Les Hommes véritables), film de Jean Lods, 1955 (20 min) : texte du commentaire[52]
Poèmes mis en musique
[modifier | modifier le code]- On peut le dire avec une chanson[v] (musique : Lionel Cazaux) 1947
- Claude Vinci : Est-ce faux ou est-ce vrai ? (musique : Joël Holmès) sur l'album Demain-Octobre, CBS, 1967[53]
- Francesca Solleville : L'instituteur part pour le front (musique : Jean-Paul Roseau) sur l'album Le Visage de l’homme, Le Chant du Monde LDX 74550, 1974
- Compagnie René Bourdet : La Ronde des escargots (musique : Stéphane Velinsky) sur l'album Drôles de poèmes pour enfants sages, Macadam music, réédition 1978[w]
- Calin Calinou : Berceuse Blues et La Berceuse du Blé sur l'album Berceuses et chansons tendres, production Arc-en-Ciel, 1989
- Albums de Fonfrède et Becker
- J’écoute, Je chante, Le Théâtre de l'image, 1990
- Fonfrède et Becker chantent Pierre Gamarra : Chansons de ma façon (Chansons pour les petits), Le Théâtre de l’image, 1996
- Les Aventuriers de l’alphabet : L’Abécédaire des animaux, livre-CD, Éditions Mango, 2002, graphisme d'Aurélia Grandin ; CD, Le Théâtre de l’image, 2008
- Chanson du X in Mon ABCD des chansons traditionnelles, éditions Gründ, 2011
- Musique de Rudolf Schmidt-Wunstorf
- Trois canards pour la Noël, 1981-1982, Répertoire choral des Écoles de la Ville de Paris, Éditions à Cœur Joie
- Debout et Est-ce faux ? 1980-1981, Répertoire choral des Écoles de la Ville de Paris, Éditions à Cœur Joie
- Impressions nocturnes : Une femme à la fontaine, Soir urbain, Voici Noël, collection « À voix égales » no 980, Éditions à Cœur Joie
- Chanson donnée, collection « À voix égales » no 967, Éditions à Cœur Joie (Lyon) — [Liste en ligne avec le détail technique des morceaux]
Bibliographie
[modifier | modifier le code]Entretiens dans des périodiques
[modifier | modifier le code]- Vivre en Val-d’Oise, no 112, novembre-, propos recueillis par Dominique Laurent
- Revue de la faculté de littérature française de l'université du Tōhoku no 27, 2007 (Sendai, Japon)
- La Vie ouvrière, no 284, , p. 14-16, p. 26, « L'invité de la semaine », propos recueillis par Serge Zeyons
- L'Humanité, , « Contre les ghettos de la société et de la langue », propos recueillis par René Ballet
Entretiens filmés
[modifier | modifier le code]Hommages
[modifier | modifier le code]- « L’Occitan de langue française », L’Argenteuillais, hors-série, été 2011, Argenteuil[57], p. 42
- Revue Blagnac : Questions d’histoire no 38, — Hommages par Jeannette Weidknnett et Michel Coulet
- Europe, no 966, — Hommages par Charles Dobzynski, Michel Delon, Jean Métellus, Roger Bordier, Béatrice Didier, Raymond Jean, Bernard Chambaz, Michel Besnier, Marc Petit, Claude Sicard, Georges-Emmanuel Clancier, Henri Béhar, Gérard Noiret et Francis Combes
- Jacques Gaucheron, « Pierre Gamarra est parti pour nulle part… », Faites entrer l’infini, no 47,
- Sur le site du CRILJ notice 04
- Hélène Boutié, « Hommage à Pierre Gamarra », Recueil de l'Académie de Montauban, tome IX (Année 2008-), p. 115-121
- « Hommage à Pierre Gamarra », Les Cahiers de la Lomagne (Los Quasèrns de la Lomanha), Gimat, Année 2009, no 15, p. 1, p. 16-29
- « Pierre Gamarra est mort », L’Humanité du [29]
Numéros de revues spéciaux
[modifier | modifier le code]- Poésie Première 29, 2004
- Poésie Première, hors-série « Tarn en Poésie 2003 avec Pierre Gamarra »
Monographies
[modifier | modifier le code]- María Josefa Marcos García, « Toulouse dans l’œuvre de Pierre Gamarra » (thèse de doctorat, faculté de philologie), Salamanque, université de Salamanque, , 188 p. — publication de la thèse : 2021, Cahiers de La Lomagne, hors-série (EAN 9782915942774)
Ouvrages de référence
[modifier | modifier le code]- Histoire de la poésie française : la poésie du vingtième siècle, tome 3 - Métamorphoses et Modernité, Robert Sabatier, Éditions Albin Michel, 1988 (ISBN 9782226299017), 795 p.
- Jacques Charpentreau (dir.) et Georges Jean (dir.), Dictionnaire des poètes et de la poésie, Gallimard, coll. « Folio Junior »,
- Guide de littérature pour la jeunesse, Marc Soriano, Flammarion, 1975
- Dictionnaire Maitron[5]
- Patrimoine littéraire européen : index général, dir. Jean-Claude Polet, De Boeck, 2000
- Encyclopædia Universalis[2]
- (en) « Pierre Gamarra », sur Encyclopædia Britannica
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Prix Charles Veillon, prix littéraire dont Pierre Gamarra est le premier lauréat
- Europe, revue littéraire dont Pierre Gamarra est rédacteur en chef puis directeur
Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives à la littérature :
- Ressource relative au spectacle :
- Ressource relative à la vie publique :
- Ressource relative à l'audiovisuel :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- L'installation de force du journal Vaincre dans ces locaux a été menée par Pierre Gamarra et Dominique Carassic, sur l'ordre de Casimir Lucibello, lieutenant-colonel des FFI connu sous le nom de colonel Laborde.
- Le Patriote du Sud-Ouest est un quotidien issu de la Résistance, organe du Front national de la Résistance ; il a plusieurs éditions locales. Il est publié de 1944 à 1956 : Page du Centre Régional des Lettres Midi-Pyrénées répertoriant les périodiques de la Libération ; Affiche de 1945.
- Sur ce roman de 1948, l'auteur déclare en 1961 : « J'aime beaucoup ce livre qui n'est pas exactement ce qu'on appelle une autobiographie mais qui raconte beaucoup de moi, de mon enfance, de ma génération. ». — Pierre Gamarra, Avant-propos à l'édition japonaise de La Hache, nouvelle annotée par Akisada Yamada et Masaya Yokoyama, Librairie Kempakusha, Tokyo, 1961, p. IV.
- L'année qui suit la parution de La Maison de feu, R. Jouanny compare le roman de Pierre Gamarra au Grand Meaulnes, « Un nouveau romancier : Pierre Gamarra » in Vent, Revue de l'Association des Écrivains et Artistes de l'Enseignement, 4e année, 1949, no 2, mars-avril, p. 31.
- Également sur le jury du Prix Veillon 1948 : Le Confédéré (Martigny) no 59, , p. 2 (Lire en ligne[PDF]). Le roman de Pierre Gamarra y est mentionné sous le titre La Tour de feu (sic).
Le jury, réuni à La Tour-de-Peilz, comprenait également Léon Bopp, Maurice Zermatten, Charles Guyot, Louis Martin-Chauffier et Robert Vivier. - La Maison de feu devait s'intituler La Maison rouge et évoque particulièrement la rue de la Colombette à Toulouse, comme l’indique Pierre Gamarra dans des propos rapportés par La Dépêche du 18 décembre 2000.
- La première contribution de Pierre Gamarra à la revue Europe avait été un poème publié dans le numéro de mai 1948, p. 45 : « Ode à l'Amérique ».
- La rubrique a d'abord été baptisée simplement « Les Livres nouveaux ». « La Machine à écrire » existe toujours dans la revue Europe, reprise depuis juin 2009 par Jacques Lèbre.
- En 1972, Le Maître d'école est repris aux Éditeurs français réunis (coll. « L'Humanité en marche »), dans le même volume qu'un ouvrage historique sur la période des années 1930, Le Front populaire : Juin 36 de Roger Quillot et Jacques Chambaz, avec une préface de Jean Cassou et des illustrations de Léon Gambier. Le cadre du roman de Pierre Gamarra est cependant bien plus large que la période du Front populaire puisqu'il s'ouvre en 1905 et se termine durant la Seconde guerre mondiale.
- Le roman Le Maître d'école a pour suite La Femme de Simon.
Claude Pujade-Renaud évoque l'histoire de Simon Sermet dans son étude L’École dans la littérature (Éditions L'Harmattan, 1986, rééd. 2006) : « Quelles traces l’école laisse-t-elle dans les mémoires ? Et comment ces traces sont-elles recréées et restituées par les écrivains ? Peut-être dans une première approche une mémoire très sensorielle nous livre-t-elle des odeurs : un octobre écolier sortant du passé avec une odeur de cuir et de vin. (La Femme de Simon) ».
Le Maître d’école et La Femme de Simon sont également cités comme références dans la liste de cent trente-huit romans sur l'école —de 1945 à 1986 —, établie par Jacky Beillerot dans « L’éducation et l’école dans les romans français » in Perspectives documentaires en sciences de l’éducation, no 10, 1986. - Le poème Chanson de la faute d'orthographe est parfois désigné, par simplification, sous le titre La Faute d'orthographe.
- Le titre Je te donne est parfois attribué à Un poème pour toi, en raison du fait qu'il s'ouvre sur le vers : « Je ne te donne qu'un poème ». Ce même titre est également parfois attribué au poème Le Monde dans mes mains, qui contient l'anaphore « Je te donne (…) ».
- L'éditeur, aujourd'hui disparu, ID-livre, expliquait lors de la parution du livre : « Le premier titre de la collection « Pierre Gamarra raconte », Le chat Moustache et ses Amis de toutes les couleurs, est sorti à l'occasion du centenaire de la loi du 9 décembre 1905 sur la séparation de l’Église et de l’État. Ce livre, destiné aux enfants de CP-CE1 et CE2, donne une leçon sur le respect, la tolérance, la citoyenneté. Le deuxième titre, Histoire de la Laïcité est sorti en même temps. Destiné aux adolescents, cet ouvrage illustré est écrit par Pierre Gamarra. Le romancier y évoque son temps d’écolier avant 1939, à l’époque où (il était élève) dans les classes de son école laïque toulousaine. Ces souvenirs, les rappels historiques et les citations que l’écrivain mêle à ses propres réflexions, sont aujourd’hui d’une très grande actualité. Trois nouveaux titres dans cette collection paraîtront en 2006.» N.B. Seuls deux des trois ouvrages prévus sont parus.
Source : Fiche de l'éditeur ID-livre sur le site Ricochet, consacré aux jeunes éditeurs. - Les éditions Au Colporteur, établies à Saint-Girons (Ariège), ont été fondées à la Libération par le poète et résistant communiste Gaston Massat dans sa librairie au 32, rue de Villefranche, comme le rappelle Jean-Baptiste Para ('Retrouver Morhange" ; Europe juin-juillet-août 2024, note).
- La postface à la réédition du roman d'Anne Talvaz est la reprise d'un article paru dans Europe (960, année 2009), à la suite de la première parution du livre (2008).
- Dans le domaine du théâtre et de l'art dramatique, Pierre Gamarra semble avoir généralement eu pour pratique de confier ses pièces directement aux troupes, aux théâtres ou aux metteurs en scène, sans publication du texte, que ce soit en France ou à l'étranger.
- Titre original espagnol : El Corazón con que vivo.
- Titre de l'original allemand : Die kleine Windsbraut Edeltraut ; ouvrage non traduit en français.
- Titre de l'original tchèque : Tajemsví oranžové kočky ; publié également en allemand et en japonais en 1968 ; puis en espagnol, en danois et en bulgare ; ouvrage non traduit en français.
- Onze poètes, parmi lesquels Pierre Gamarra, participent à ce recueil de poèmes en soutien à Louis Aragon.
- L'ouvrage est publié par l'Association Parisienne des Amis de la Révolution française pour la célébration populaire du Bicentenaire de la Révolution française.
- La chanson a servi d'indicatif sur la Radio toulousaine en 1947-1948.
- Pierre Gamarra est crédité sous le nom de Pierre Gamarre (sic) sur cet album de la collection Elf/Antar Hachette diffusé principalement sous forme de cassette audio.
Références
[modifier | modifier le code]- « Pierre Gamarra », sur le site du Printemps des Poètes.
- Article « Pierre Gamarra » de l'Encyclopædia Universalis.
- Bulletin de la maison de la Poésie du 11 octobre 1988 [p. 2] (Lecture-rencontre 119).
- Michel Maglin, La Dépêche du Midi, 15 novembre 2007 : La Renaissance fête ses soixante printemps ; bref historique sur le site de la librairie La Renaissance ; article sur les soixante ans de la Renaissance, L’Humanité, 15 novembre 2007.
- Article « Pierre Gamarra » du Dictionnaire biographique, mouvement ouvrier, mouvement social, tome V (2009), Bernard Épin.
- Simone Hauert, revue Annabelle, 8e année, no 85, mars 1948 (Lausanne), p. 45.
- « Chronologie de Pierre Gamarra », sur Les Amis de Pierre Gamarra, (consulté le )
- Bibliographie des contributions à Europe, site de Paris-III (avant 2000), tables annuelles à partir de 2001, sur le site d’Europe : Revue Europe : tables des contributions.
- Sophie Béroud et Tania Régin, Le roman social : littérature, histoire et mouvement ouvrier, Editions de l'Atelier, , 287 p. (ISBN 978-2-7082-3603-5, lire en ligne)
- Recueil de l'Académie de Montauban : sciences, belles-lettres, arts, encouragement au bien (Montauban), 1998 (série III, tome 82) (ISSN 1154-7995).
- « Bessens. L'hommage à Pierre Gamarra », La Dépêche.
- « Pierre Gamarra, l’écrivain occitan », La Dépêche du 20 juillet 2012.
- « L’Occitan de langue française », L’Argenteuillais, Hors-série, été 2011.
« (Sa) frénésie d'écrire lui confère une place de choix dans la littérature enfantine, où on lit ses poèmes dans les écoles, on les enseigne, on les apprend. Ainsi la très respectable et respectée Britannica Online Encyclopedia le considère comme l'un des rares delightful practitioner with notable drollery and high technical skills (un créateur délicieux à l'humour remarquable et d'une grande technique) de la littérature enfantine. »
— Guillaume de Toulouse-Lautrec, préface à Mon pays l'Occitanie, 2009, p. 12
- Bernard Épin, Découvrir la littérature d'aujourd'hui pour les jeunes, Anthologie Jeunesse Seghers, 1971, notice p. 265.
« Un de nos rares poètes pour enfants (avec) sa fantaisie et son sens de la langue. »
— Marc Soriano in revue Enfance, année 1968, volume 21, no 21-5, p. 404.
- « Stanislas récite Pierre Gamara | nova », sur Nova (consulté le )
- « Esther récite Pierre Gamarra », sur Nova (consulté le ) « Un enfant, un poème » : lecture présentée et commentée par Édouard Baer (durée : environ 5 minutes).
- Guide pédagogique à Histoire des arts coll. Explorer, Cycle 2, Éditions Nathan (2011) par Jacky Biville, Christian Demougin et Hervé Thibon, p. 166-167.
« His Mandarine et le Mandarin contains Fontainesque fables of notable drollery and high technical skill. »
« Son recueil La Mandarine et le Mandarin contient des fables lafontainesques d'une drôlerie remarquable et d'une grande virtuosité technique. »
- « Quoi, quoi, quoi ? c'est moi l’oie / Je voudrais que l'on me croie » (L'Oie, dans Chansons de ma façon, 1963), par exemple.
- On peut en voir un témoignage dans un article paru dans La Dépêche en 2000 : Pierre Jean Pyrda : «Pierre Gamarra a trouvé ses enfants» in La Dépêche du Midi, 28 mars 2000.
- Sur l’utilisation ludique et pédagogique des textes de Pierre Gamarra, voir les recensions, notamment dans Télérama et Le Républicain lorrain, de l'album mettant en musique le recueil de comptines Les Aventuriers de l’Alphabet, sur le site Mots-et-merveilles (2008).
- Marc Soriano évoque à propos de L'Énigme du Capitole (1968), « le ton inimitable, rire léger et tendresse, de l'auteur de la déjà classique « saga » de la Berlurette », revue Enfance, Année 1968, Volume 21, no 21-5, p. 406.
« Publiés par La Farandole (disparue en 1994), des romans comme Le Mystère de la Berlurette, L’Aventure du serpent à plumes, Le Pharaon de Blagaron, (…) On a mangé l’alphabet (Bordas) ou Six colonnes à la une (Laffont-Plein vent) ont connu un franc succès et demeurent des références. Sans oublier l’album de comptines Chansons de ma façon maintes fois mis en musique ou les fables malicieuses de La Mandarine et le mandarin. De son expérience d’écrivain et de ses rencontres avec les enfants il a tiré un important essai La Lecture pour quoi faire ? »
— Bernard Épin, Hommage à Pierre Gamarra sur le site de La Charte des auteurs et des illustrateurs (pour la) jeunesse (2009)
« Il y a dans ce livre (Les Coqs de Minuit, 1950)… les parfums, les couleurs, le soleil et les pluies de ce pays où nous sentons se succéder les saisons […], il y a aussi […] la tendresse de l'auteur pour son héros obscur, pour ce paysan de ténèbres avec sa force obstinée, son inutile grandeur. »
— Louis Aragon, quatrième page de couverture à la réédition de Les Coqs de minuit (suivi de) Rosalie Brousse (de Pierre Gamarra), Les Éditeurs Français Réunis, coll. EFR de poche, 1965
« (Le) titre (du roman Cantilène occitane, 1979), trop modeste, nous rappellerait s'il était besoin que Pierre Gamarra est aussi le poète d'Un chant d'amour ; et, dès sa première page, le roman ne nous permettrait plus de l'oublier. Mais en parlant du poète, ne risquons-nous de faire tort (hélas !) au romancier : Cantilène occitane est bien un roman, un vrai et beau roman, avec des personnages qu'on croit avoir connus, dont on a partagé plus ou moins la passion. D'autant plus vrais eux-mêmes qu'ils sont imaginaires, et parce que le romancier ose n'avoir rien perdu de cette vieille illusion téméraire : faire de la vie. »
— Yves Florenne, « Les grands bûchers sous le soleil », Le Monde, 31 août 1979
- Françoise Hache-Bissette, « Le journaliste dans les romans pour la jeunesse : aventurier, détective ou justicier ? », Le Temps des medias, vol. 13, no 2, , p. 185–199 (ISSN 1764-2507, lire en ligne, consulté le )
- « Pierre Gamarra est mort », L’Humanité du 25 mai 2009.
- Marc Soriano « Les thèmes de la littérature de jeunesse en France depuis la 2e guerre mondiale», Bulletin des bibliothèques de France, n° 1, 1965, consulté le 27 août 2015. Lire en ligne. ISSN 1292-8399.
- «Le Maître d’école reste un chef-d'œuvre qui traverse les époques avec sensibilité et l'harmonie apaisante de son écriture. »
« Sur les pas de sept écrivains tarn-et-garonnais », La Dépêche, 15 avril 2011 (Lire en ligne). - Le Fleuve Palimpseste (1985) : Liste des lauréats du Grand Prix sur le site de la SGDL.
- Albert Ayguesparse, sur le recueil Le Sorbier des oiseaux, Marginales (Bruxelles), 32e année, no 175, mars-avril 1977, p. 51.
- Le spectacle de Michael Lonsdale, Passion de l'Espagne, contient des poèmes de Pierre Gamarra lus par le comédien, avec des interludes musicaux de Stéphane Leach, interprétés par le Trio Polycordes.
- « Échos », Les Cahiers du Sud, no 1, , p. 80 (lire en ligne).
- Archives « Honour List » 1956-1998, sur le site officiel ibby.org.
- « Annuaire des établissements de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
- « Le groupe scolaire baptisé du nom de Pierre Gamarra », sur ladepeche.fr (consulté le )
- Rue Pierre Gamarra dans le quartier d'Orgemont, à Argenteuil : communiqué de presse de la municipalité, octobre 2012.[PDF]
- Session ordinaire du conseil municipal de Montauban du 20 mai 2019 (dénomination d’espaces).
- « Nouvelle Aquitaine » (consulté le )
- Au sujet de la bibliothèque Pierre Gamarra à Andrest, dans les Hautes-Pyrénées, on peut consulter deux articles de 2009 sur le site de La Dépêche : « Hommage à Pierre Gamarra à Andrest » et « Hommage à un écrivain passeur ».
- « La lune dans ton sac (présentation du recueil sur le site officiel consacré à l'écrivain) », sur Les Amis de Pierre Gamarra (consulté le )
- Site officiel.
- L'éditeur indique : « Sur un thème proposé à leurs élèves par des enseignants des Hautes-Pyrénées, les enfants ont imaginé divers éléments dont Pierre Gamarra s'est librement inspiré. Parmi les nombreux dessins d'enfants rassemblés à cette occasion, quelques-uns ont été choisis par René Moreu qui les a intégrés à cet ouvrage pour alterner avec ses propres illustrations. »
- L’Empreinte de l’ours est une nouvelle édition (2010), modifiée, de Rhapsodie des Pyrénées (1963) ; le roman est publié également en édition à grands caractères aux Éditions l’Écriteau (2012).
- Le Maître d’école, suivi de La Femme de Simon, est repris en collection « Terre de poche » en 2011 aux éditions De Borée (ISBN 9782812903007) ; le roman Le Maître d'école est publié également en édition à grands caractères aux Éditions À vue d'œil (2009).
- « Actualité », sur Les Amis de Pierre Gamarra, (consulté le )
- L’édition originale (S.E.P.E, 1950) de L’assassin a le prix Goncourt porte le nom d’auteur de Silvio Michel, pseudonyme de Pierre Gamarra.
- Les Coqs de Minuit, adaptation pour la télévision, fiche sur l'Internet movie data base.
- Fiche du film et vidéo en ligne sur le site Ciné-Archives (Rubrique: Le Front Populaire).
- Fiche du film et vidéo en ligne sur le site Ciné-Archives.
- « Disparition de l'ami Claude Vinci » L'Humanité du 9 mars 2012.
- Bande-annonce du documentaire La vie sera belle : section sur Pierre Gamarra dans la bande-annonce à partir d'1 min 35. Les entretiens avec Pierre Gamarra ont été filmés en 2006.
- La Dépêche, 27 mai 2015, « Pour que Toulouse n'oublie pas ses héros ».
- Jacques Capdecomme, « La vie sera belle (81 minutes) », film accessible dans son intégralité sur la chaîne du réalisateur, sur Youtube, juin 2020.
- L’article « L'Occitan de langue française» est une reprise, à l’occasion d’une exposition dans les rues d’Argenteuil en juillet 2011, d’un article publié dans Le Mag (Argenteuil) en mai 2010.
- Écrivain français du XXe siècle
- Écrivain français du XXIe siècle
- Poète français du XXe siècle
- Poète français du XXIe siècle
- Auteur français de littérature d'enfance et de jeunesse
- Auteur français de contes
- Fabuliste français
- Critique littéraire français
- Rédacteur en chef français
- Collaborateur de la revue Europe
- Romancier français du XXe siècle
- Romancier français du XXIe siècle
- Résistant français
- Naissance en juillet 1919
- Naissance à Toulouse
- Personnalité liée à Toulouse
- Décès en mai 2009
- Décès à 89 ans
- Décès à Argenteuil (Val-d'Oise)
- Occitanie